Il s’est tenu le mercredi 11 septembre au siège de la FEC, une matinée d’information et d’échange sur les missions de l’Office National de l’Emploi, ONEM en sigle.
Au cours de cette matinée, le Directeur Général de l’ONEM, Monsieur Fanon BEYA, a exposé sur les attributions de l’Office en tant qu’établissement public régulateur du marché de l’Emploi, créée par le Décret Présidentiel n°081/2002 du 03 juillet 2002. Ce dernier a été accueilli et accompagné dans cette activité par l’Administrateur Délégué de la FEC, Monsieur KIMONA BONONGE, et le 2ème Vice-Président de la Commission Nationale Sociale et Employabilité, Monsieur Joe LUMBANA KAPASA.
Le Directeur Général a dans son mot de circonstance retracé l’historique de l’Office National de l’Emploi depuis sa création jusqu’à ce jour. Il a fait état de la mission essentielle de l’Office, celle de promouvoir l’emploi et de réaliser au mieux, en collaboration avec les organismes publics ou privés intéressés, l’organisation du marché.
Au cours de sa présentation, il s’est penché sur la mission technique de l’Office dans toute sa diversité, en passant en revue les attributions techniques de l’Office, notamment : l’accueil et l’information des demandeurs d’emploi, la prospection des emplois disponibles, le placement des demandeurs d’emploi, la promotion de l’emploi et la création des petites entreprises, l’organisation et la facilité de la mobilité professionnelle, l’attestation de la conformité de tout contrat de travail avec la législation nationale au moyen de visa.
Cette matinée a été une occasion pour le Directeur Général de l’ONEM de lancer un nouvel élan de partenariat entre l’Office National de l’Emploi et la Fédération des Entreprises du Congo.
A l’occasion, il a promis d’offrir très prochainement à la Fédération des Entreprises du Congo un lot de documents ROME, « le Répertoire Opérationnel de Métiers et Emplois », mais aussi de revenir dans les prochains mois auprès de la Fédération avec certaines réalisations.
Le Directeur Général de l’ONEM a insisté sur le fait qu’il faut oublier la mauvaise image du passé de l’ONEM et tourner son regard sur le présent et l’avenir.