FECIl s’est tenu au Siège Provincial de l’INSTITUT NATIONAL DE PREPARATION PROFESSIONNELLE (INPP) à Mbandaka du 20 au 29 mai 2025, un Atelier de PRE-VALIDATION DU RÉPERTOIRE DE METIERS VERTS. Dans son mot de clôture, le Directeur Chef de Département Technique ai de l’INPP, Monsieur Longin LUTETE MUFU, présenter au nom de la délégation d’experts de l’INPP venue de Kinshasa, Haut-Katanga, Kongo central et de la Tshopo et l’Equateur les remerciements aux Autorités Provinciales et tous ses services pour l’accueil et l’encadrement bénéficiés afin que cet atelier, combien stratégique, soit organisé à Mbandaka, dans la province de l’Equateur.
Pour lui, le choix d’organiser ces assises à l’Équateur se justifie du fait que la région, avec sa forêt dense et sa biodiversité, offre tous les atouts possibles pour développer et implémenter les métiers verts.
Cet atelier a connu quatre (4) moments forts dont :
Primo : la définition des concepts de base liés au métiers verts afin de permettre que les participants puissent parler un même langage et se comprendre ;
Secundo : la présentation, les explications et la validation de la charte graphique des métiers verts ;
Tertio : la présentation, l’amendement et la pré-validation du répertoire des métiers verts ;
Quarto : la présentation, l’amendement et la pré-validation de la stratégie INPP de développement des métiers verts.
Au terme de ces travaux riches en production des livrables stratégiques pour le développement d’une économie verte dans notre pays, la stratégie INPP de développement des métiers verts ainsi que deux (2) procès-verbaux dont l’un de validation de la charte graphique des métiers verts et l’autre de pré-validation du répertoire des métiers verts ont été signés par tous les représentants et experts du Gouvernorat de province de l’Équateur, du ministère de l’environnement, du plan, de l’aménagement du territoire, de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), des organisations de la société civile et de l’INPP.
Le répertoire de métiers verts que nous venons de pré-valider comprend 11 filières et 74 métiers. Il s’agit des filières suivantes :
- Agriculture durable ;
- Agroalimentaire ;
- Énergies renouvelables ;
- Forêt et bois ;
- Conducteur des engins forestiers ;
- Valorisation des déchets ;
- Gestions des érosions ;
- Eau ;
- Hydrogène vert ;
- Construction écologique ;
- Filière des compétences transversales.
Ces métiers verts vont permettre à la population congolaise de :
- Créer des nouveaux emplois ;Faciliter l’insertion professionnelle ;
Optimiser l’utilisation de l’énergie et de matières premières ;
Limiter les émissions de gaz à effet de serre ;
Minimiser les déchets et la pollution ;
Protéger et restaurer les écosystèmes, notamment la forêt ;
Contribuer à l’adaptation au changement climatique et à ses conséquences.
Comme nous pouvons le constater, l’implémentation de ce répertoire revêt un double enjeu pour notre pays : (1) contribuer à la lutte contre les effets pervers du changement climatique et (2) favoriser le développement d’une économie durable ou verte.
Les métiers verts et verdissants occupent donc une place cruciale dans la transition économique vers un avenir durable, non seulement de la province de l’Équateur dont le programme gouvernemental tourne autour du concept « économie verte », mais aussi pour tout notre pays.
Ces métiers verts vont permettre à la population congolaise de :
- Créer des nouveaux emplois ;Faciliter l’insertion professionnelle ;
Optimiser l’utilisation de l’énergie et de matières premières ;
Limiter les émissions de gaz à effet de serre ;
Minimiser les déchets et la pollution ;
Protéger et restaurer les écosystèmes, notamment la forêt ;
Contribuer à l’adaptation au changement climatique et à ses conséquences.
Comme nous pouvons le constater, l’implémentation de ce répertoire revêt un double enjeu pour notre pays : (1) contribuer à la lutte contre les effets pervers du changement climatique et (2) favoriser le développement d’une économie durable ou verte.
Les métiers verts et verdissants occupent donc une place cruciale dans la transition économique vers un avenir durable, non seulement de la province de l’Équateur dont le programme gouvernemental tourne autour du concept « économie verte », mais aussi pour tout notre pays.
